Il existe une plante dont beaucoup de grands laboratoires pharmaceutiques préféreraient qu’on ne parle jamais : la berbérine.
Couramment utilisée en médecine chinoise et ayurvédique, cet alcaloïde végétal est reconnu pour ses propriétés immunostimulantes, antifongiques, antibactériennes, et ses facultés à réguler les troubles intestinaux.
Mais depuis quelque temps, les recherches scientifiques ont rajouté une nouvelle corde à son arc traditionnel : le traitement du diabète de type 2 (90 % des diabètes) Avec un succès qui dépasse celui du principal médicament anti diabétique (la metformine).
Vous comprenez maintenant pourquoi certains fabricants de médicaments ont tout intérêt à ce que cette nouvelle reste très discrète.
Mais aujourd’hui nous pouvons dire : raté !
C’est une excellente nouvelle quand on connaît l’ensemble des complications que peut engendrer un diabète trop longtemps déséquilibré :
les personnes atteintes de diabète de type 2 ont en moyenne des accidents cardiovasculaires (infarctus, AVC) 15 ans avant les autres ;
leur risque de mourir d’un problème cardiaque est 2 à 4 fois plus élevé que chez les autres ;
le diabète est la principale cause de cécité (être aveugle) chez les personnes de 20 à 74 ans ;
le diabète est la principale cause d’insuffisance rénale ;
60 à 70 % des diabétiques ont des problèmes nerveux comme : perte de sensibilité dans les mains et les pieds, mauvaise digestion, syndrome du canal carpien, impuissance ;
amputation : chaque année, 5 000 amputations de membres sont pratiquées en France en conséquence du diabète ;
hygiène buccale : presque un tiers des personnes diabétiques ont de graves problèmes de gencive.
Aujourd’hui, le diabète est généralement traité soit par une insuline de substitution (injections, pompes), soit avec des médicaments hypoglycémiants (ceux qui font baisser le taux de sucre dans le sang).
Ces médicaments ont parfois des effets secondaires très lourds :
Une grande étude [1] sur les effets des médicaments contre le diabète a dû être interrompue brutalement parce qu’on s’est aperçu que les patients diabétiques qui prenaient le plus de médicaments avaient le plus fort risque d’infarctus, d’accident cardiovasculaire et de mort par maladie cardiaque !
Mais ce qu’on évite soigneusement de dire, c’est que diabète n'est pas une fatalité vouée aux seuls traitements par les médicaments.
Dans des études récentes, des plantes ont montré pour le diabète de type 1 que le défaut de sécrétion d’insuline par le pancréas (phénomène supposé irréversible) peut faire l’objet d’une réactivation !
C’est le cas de la cannelle de Ceylan, du ginseng américain, du melon amer pour ne parler que d’eux.
D’autres épices, qui se trouvent déjà dans vos étagères de cuisine, préviennent également la maladie diabétique. Vous découvrirez :
celles qui ont des propriétés scientifiquement prouvées d’action contre le diabète,
les associations à privilégier entre elles (par exemple ajouter du poivre noir avec le curcuma) ;
le dosage efficace à la pincée de poudre de graine près,
les éventuelles interactions médicamenteuses à considérer avec prudence.
Dans ce numéro de Plantes & Bien-Être, vous trouverez beaucoup d’autres « pépites » concernant la phytothérapie, la naturothérapie ou encore les huiles essentielles :
Interdit aux moins de 18 ans. Dans les Saint-Valentin d’autrefois, des garçons poursuivaient des jeunes filles nues pour les conduire, à la luxure d’abord, puis au mariage ! Autant dire qu’il fallait un philtre d’amour…costaud ! Bonne nouvelle : nous avons retrouvé une des plantes qui entrait dans sa composition.
- « Une tisane pour se sentir belle ! ». Ce titre sonne un peu « magazine féminin » (sous-entendu : c’est du « bla-bla » !...). Mais essayez quand même notre tisane qui mélange ortie, prêle, bouleau et fraisier, dans des proportions très précises et selon une recette unique, et vous verrez le résultat, si vous avez des ongles cassants et des cheveux fragilisés. Vous nous direz ensuite si c’est du « bla-bla »…
- « Génial, j’ai une fièvre de cheval ! ». Il n’est pas nécessaire de toujours traiter la fièvre. Car contrairement à ce qu’on croit, le bon indicateur du danger n’est pas forcément le thermomètre…
- Tout le monde est persuadé que la menthe annule les effets des remèdes homéopathiques. Et si l’on vous disait au contraire qu’elle peut, à certaines conditions, en augmenter l’efficacité ! Nous vous expliquons comment.
- Acupuncture : quand les huiles essentielles remplacent les aiguilles ! Soyez les premiers à découvrir cette nouvelle thérapie très prometteuse : la phyto-énergétique.
- Ce n’est pas une plante, c’est un couteau suisse multi-options ! On l’appelle le « sparadrap du paysan » pour son action cicatrisante ; ses acides phénols lui confèrent une activité antibactérienne ; il est également efficace contre les piqûres d’ortie ou d’insectes. Et ce n’est pas tout : le plantain peut rendre service dans les diarrhées, la constipation, les angines, les inflammations de la muqueuse buccale. Pour se servir de cette trousse à pharmacie naturelle, il y a juste un détail à régler : apprendre à le reconnaître avec certitude.
- Un remède anti-cancer découvert dans un arbre...par des chimpanzés ! Ces grands singes écorcent au prix de terribles efforts un arbre appelé l’albizia, pour en extraire sa résine. Non seulement elle apaise leurs diarrhées, mais elle possède des molécules saponides aux propriétés anticancéreuses extrêmement prometteuses (peut-être l’explication du fait qu’ils se maintiennent en meilleure santé que les humains) !
- Pour les personnes qui se sentent inutiles, mal-aimées, le lycopode est une plante qui réconforte avec délicatesse. Il faut dire qu’elle a une incroyable raison de si bien les soigner…
- « Rien de plus facile à planter que le basilic ! »...Hmm. Vraiment ? Pour tous ceux qui ont déjà assisté au brutal dessèchement et au pourrissement de leur plan de basilic, cette petite phrase a quelque chose...d’exaspérant ! Savent-ils, ceux qui disent que c’est « facile », qu’un plant de basilic réclame :
de rester dehors à mi-ombre pendant plusieurs jours,
qu’il faut dépoter délicatement, sans abîmer les racines,
positionner le collet au niveau de la surface du sol pour éviter le pourrissement des plants,
et surtout laisser une distance de 25 centimètres entre chaque pied.
Et sur l’arrosage et la taille ? Sur la redoutable menace que représente un champignon du sol, le fusarium, ils savent vraiment tout, aussi ? Pas si sûr...