Le discours du président de la république dans lequel il a annoncé certaines mesures d'accompagnement de la crise du Covid-19, a été jugé un non sens quand il n'a pas englobé certaines urgences, notamment les salaires des fonctionnaires précarisés par la vie chère et les banques qui accordent certes des prêts, mais à des taux très élevés.
Ensuite, le prix du carburant qui impacte toute la vie et la communication du pays, n'a pas été allégé , par complexe face à un pétrole qui pourtant ne cesse de dégringoler de jour en jour, et cela de surcroit bien avant le crise du Covid-19...
Ce carburant à la pompe qui devra baisser du tiers, afin de faire souffler la chaîne du transport des personnes et des biens, permettre à une autorité de régulation du transport à bénéficier de la baisse afin de convaincre des transporteurs désobéissants à respecter la dernière décision de diminution du nombre de passagers.
Les fameux conseillers rédacteurs de discours, du président de la republique devaient lui proposer d'anticiper l'opération Ramadan des boutiques Emel, en vendant certaines denrhées alimentaires essentielles citées dans son discours à moitie prix.
Enfin, le discours du président a été vide de règlement à l'urgence, en attendant (qu'Allah nous en preserve) davantage de faim, d'infections et peut être de décès...
> Sid'ahmed.....