Le leader de l'opposition député national et second des dernières présidentielles de 2019, rappelle au président de la république l'état de grâce actuelle dont il bénéficie.
L'opposant rappelle les dernieres realisations notamment l'abrogation des lois relatives aux associations et mouvements, qui devient déclaratif au lieu de l'autorisation qui émanait de l'administration.
Parmi ses droits assurés naguère et qui garantissait leur pérennité, celle du droit de manifester, qui a connu, selon le député Biram Dah Abeid (BDA), des atteintes graves et inexplicables, puisque les étudiants de médecine, les habitants pollués de Tiviritt et ceux de Zoueratt ont été l'objet de violences pendant l'exercice de ces droits fondamentaux.
Les autorités, dit le député BDA ont avancé des justificatifs aux différentes revendications face aux violences subies par les manifestants,
Malgre cela, martèle le depute BDA, les forces de l'ordre et leurs responsables ont souvent fait usage de falsification et du mensonge pour légitimer leurs intimidations et violences corporelles.
Ensuite, le député BDA, a rappelé l'obligation de l'Etat a ressuciter les syndicats, qui sont un moyen très efficace de revendication.
La situation économique des citoyens est lamentable, le chômage des jeunes mauritaniens, qui est l'un des plus élevé au monde. Je demande, ajoute Biram Dah Abeid, au président de la république Ghazouany et au gouvernement de se pencher sur ces difficultes du quotidien, et d'y prendre des solutions rapides.
Je constate aussi la montée fulgurante des prix de denrées alimentaires, ce qui coutait mille ouguiya a doublé, c'est inacceptable. À suivre ....
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