L'unique question élucidée au cours de la conférence de presse du président de la République était, bien entendu sa décision de recourir à l'article 38 de la Constitution pour soumettre les amendements à un référendum populaire.
Certains croient l'avoir trouvée dans la formulation de l'article 99 qui dit " Tout projet de révision doit être voté à la majorité des deux tiers (2/3) des députés composant l'assemblée nationale et des deux tiers (2/3) des sénateurs composant le sénat, pour pouvoir être soumis au référendum". Puisque ce texte ne se réfère qu'au référendum, ils en déduisent que le double vote ne s'impose que dans cette seule hypothèse.
Nous avons suivi avec intérêt, l’échange par facebookinterposé entre le Ministre de l’Economie et des Finances et quelques internautes à propos de son article sur les pas franchis par l’économie nationale. Il y-a lieu d’abord de féliciter le Ministre pour avoir osé écouter et répondre à des citoyens somme toute ordinaire. Il s’agit là d’une pratique originale à laquelle nous convions tous les autres responsables pour exposer leurs points de vue.
La communauté urbaine et ensuite les populations (accord tacite entre les eux parties) a donné le nom de place Madridau carrefour qui relie les Moughatta de Toujounine, Riadh, Arafat au centre ville c'est-à-dire à la capitale.
Cet article a été publié le dimanche 05/02/2017 sur le site Mauriactu.info. La pertinence de l’analyse, la clarté des idées, l’objectivité de son auteur et l’actualité de la thématique abordée nous dictent de le reprendre dans m21.mr. Bonne lecture
Chacun la veut tout seul, dans un combat à mort qui fait remonter du tréfonds des âges, la vieille jalousie bédouine. Nouakchott est cette dame aux couleurs du vent, la plus jeune capitale du Maghreb, que Rabat et Alger se disputent à couteaux tirés. Aujourd’hui qu’elle accepte de tendre une joue au Royaume du Maroc que le visage de l’Algérie s’empourpre. Comment satisfaire ces deux puissants voisins en leur imposant un ménage à trois ?
La dernière visite effectuée par son Excellence Monsieur le Président de la République à la wilaya de l’Adrar a été perçue comme une attention particulière donnée par le Chef de l’Etat aux populations de cette wilaya et surtout à certaines communautés traditionnelles marginalisés depuis l’avènement de l’Etat moderne.